XpertiZ tu perd tu vise tu gere tu crise! les expertes te suffise! écoute pa ceux ki pervertise, écoute nou on réalise du son on exploite, du son on exporte,des chance on expire et des voeux on exhause toujours des pertes, toujours des portes,finni inerte Xpertiz,tu les défonce tu Skyrock.com. Connecte-toi; Crée ton blog; Chercher. Blog;
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Jen’imagine plus, nos rĂȘves ont vĂ©cu. Car le rideau retombe et ce n’est plus un rĂȘve ! En foule vers la tombe coulent les souvenirs, Une Ă©toile de mer expire sur la grĂšve ; Au reflux de l’amour, tu choisis de partir. Mon cƓur Ă©tait un cygne, et il vient de chanter. A ton cƓur, qui me signe un billet de retour.
Voir Ă©galement trawl trawler tray traycloth treacherous treacherously treachery treacle treacle tart treacly tread treadle treadmill Treas treason treasonable treasonous treasure treasure chest treasure hunt treasure-trove Recherches rĂ©centes Voir tout Inflections of 'tread' v ⇒ conjugatetreadsv 3rd person singular treadingv pres p trodv past troddenv past p WordReference Collins WR Reverse 16 WordReference English-French Dictionary © 2022Principales traductionsAnglaisFrançais tread⇒ vi walkmarcher⇒ vi I trod with care as I crossed the slippery ground. You've trodden all over the carpet in your muddy boots! Je marchais avec prĂ©caution en traversant le sol glissant. Tu as marchĂ© partout sur la moquette avec tes bottes pleines de boue ! tread on [sth], tread upon [sth] vi + prep trample, squashmarcher sur vi + prĂ©p littĂ©rairefouler⇒ vtr le pied de [qqn],...Ă©craser⇒ vtr The great oaf wasn't looking where he was going and he trod on my foot! Tread softly for you tread upon my dreams. Yeats Le grand lourdaud ne regardait pas oĂč il allait et il m'a marchĂ© sur le pied ! Marchez doucement car tu marches sur mes rĂȘves. W. B. Yeats Le grand lourdaud ne regardait pas oĂč il allait et il m'a Ă©crasĂ© le pied ! tread [sth]⇒ vtr walk somewhere littĂ©rairefouler⇒ vtr As she walked along the path, Charlotte thought of all the people who must have trodden it before her. That man is the greatest scoundrel who ever trod this earth! En marchant le long du sentier, Charlotte pensait Ă  tous ceux qui l'avaient foulĂ© avant elle. Cet homme est la plus grande ordure qui ait jamais foulĂ© cette terre ! tread n grooves on a tire pneuchape nf I need to get new tyres; there's not much tread left on these. J'ai besoin de nouveaux pneus ; il n'y a plus beaucoup de chape sur ceux-ci. Traductions supplĂ©mentairesAnglaisFrançais tread n manner of walkingpas nm For such a large man, John had a light tread. Pour un homme si grand, John avait un pas lĂ©ger. tread n sound of walkingbruit des pas nm Wendy had been waiting for hours when she finally heard Peter's tread on the gravel behind her. Wendy attendait depuis des heures lorsqu'elle a finalement entendu le bruit des pas de Peter dans le gravier derriĂšre elle. tread n flat part of stepmarche nf techniquegiron nm Be careful going down the stairs; the treads are very narrow. Fais attention en descendant les escaliers ; les marches sont trĂšs Ă©troites. tread n bottom of shoe dessous de chaussuresemelle nf The footprint matched the tread on the suspect's shoe. L'empreinte correspondait Ă  la semelle de la chaussure du suspect. WordReference English-French Dictionary © 2022Formes composĂ©esAnglaisFrançais ribbed tread, rib tread n type of vehicle tyrepneu Ă  nervures nm tire tread US, tyre tread UK n grooves on a tire pneubande de roulement nf tread carefully vi + adv figurative be cautious or gentle figurĂ©, familiermarcher sur des Ɠufs loc v He's quite sensitive about that, so tread carefully. Depuis qu'Albert a demandĂ© une augmentation il marche sur des Ɠufs. figurĂ©y aller doucement loc v tread carefully vi walk cautiouslymarcher avec prĂ©caution loc v tread on [sb]'s toes, step on [sb]'s toes v expr figurative encroach on [sb]'s territory figurĂ©marcher sur les plates-bandes de [qqn] loc v + prĂ©p The new employee trod on Gloria's toes when he sold some new products to her clients. tread the boards v expr figurative act on stage Théùtre, figurĂ©monter sur les planches loc v The actress had longed to tread the boards since she had been a child. Cette actrice rĂȘvait de monter sur les planches depuis son enfance. tread water v expr keep head above water by moving limbsnager sur place vi + adv Beginners' swimming lessons include teaching students how to tread water. Les cours de natation pour dĂ©butants incluent d'apprendre aux Ă©lĂšves Ă  nager sur place. tread water v expr figurative exert energy without making progress figurĂ©faire du sur-place, faire du surplace loc v We're treading water until the Euro/Pound exchange rate improves. I'm just treading water now because I don't know how to progress. Nous ferons du surplace or faisons du sur-place jusqu'Ă  ce que le cours euro/livre s'amĂ©liore. Pour l'instant je ne fais que du surplace or ne fais que du sur-place parce que je ne sais pas comment progresser. 'tread' Ă©galement trouvĂ© dans ces entrĂ©es Dans la description anglaise Français PublicitĂ©s PublicitĂ©s Signalez une publicitĂ© qui vous semble abusive. Devenez parrain de WordReference pour voir le site sans publicitĂ©s.
Marchezdoucement car vous marchez sur mes rĂȘves. Citations de William Butler Yeats William Butler Yeats. Autres citations. La propagande est aux dĂ©mocraties ce que la violence est aux dictatures. Chomsky Noam. La propagande est aux dĂ©mocraties ce que la violence est aux dictatures.Citations de Noam ChomskyNoam Chomsky . More Details.
"Mais tu sais je suis pauvreEt mes rĂȘves sont mes seuls biensSous tes pas, j'ai deroulĂ© mes rĂȘvesPrends garde a tes pasCar tu marches sur mes rĂȘves"William Butler Yeats Posted on Wednesday, 26 December 2007 at 548 PMEdited on Saturday, 09 February 2008 at 307 AM
\n \nmarche doucement car tu marches sur mes rĂȘves
Maismoi qui suis pauvre et n'ai que mes rĂȘves, Sous tes pas je les ai dĂ©roulĂ©s. Marche doucement car tu marches sur mes rĂȘves. * Had I the heaven's embroidered cloths, Enwrought with golden and silver light, The blue and the dim and the dark cloths Of night and light and the half-light; I would spread the cloths under your feet:
Marche doucement, car tu marches sur mes rĂȘves On trouve des mots quand on monte Ă  l’assaut. »[1]Edmond Rostand, Cyrano de Bergerac Juste avant de mener l’ultime bataille contre les Germains, le commandant des lĂ©gions Felix de l’Empereur Marc AurĂšle, le gĂ©nĂ©ral Maximus DĂ©cimus MĂ©ridius, motive ainsi ses hommes Ce que nous faisons dans la vie rĂ©sonne dans l’éternitĂ© ». Et avant d’accoster la plage de Troie et de reprendre la frivole HĂ©lĂšne au bobo troyen, ParĂźs, Achille dit Ă  ses Myrmidons Savez-vous ce qui se trouve lĂ -bas, ce qui vous attend au-delĂ  de cette plage ? L’immortalitĂ© ! Prenez-lĂ  ! Elle est Ă  vous ! » Nous ne sommes que de simples mortels ; notre Ăąme est peccable, notre esprit est en proie aux doutes et notre cƓur est inconstant. Toutefois, Ă  en croire Nietzsche, une chose demeure constante la volontĂ© de puissance. Il Ă©crit dans Ainsi parlait Zarathoustra Partout oĂč j’ai trouvĂ© du vivant, j’ai trouvĂ© de la volontĂ© de puissance ; et mĂȘme dans la volontĂ© de celui qui obĂ©it, j’ai trouvĂ© la volontĂ© d’ĂȘtre maĂźtre. » Cette volontĂ© de puissance ne doit pas ĂȘtre confondue avec une volontĂ© de domination ou d’écraser les autres ! Elle est en revanche une volontĂ© de croĂźtre, de ne pas demeurer Ă  l’état embryonnaire et de, pour parler comme Kant, sortir de l’état de ĂŽ muse ! la colĂšre du vaincu ! fils de la paresse et de l’aveuglement et par qui tant de maux furent causĂ©s Ă  sa famille et Ă  sa petite personne ! Combien de destins furent brisĂ©s parce justement ils ne purent ĂȘtre reconnus ? C’est le sang qui fait pousser l’herbe et c’est dans le sang que se forgent les voulons, nous exigeons des esprits libres. Ce ne sont pas les maĂźtres qui font les esclaves mais les esclaves qui font les maĂźtres. L’homme a un penchant pour la servitude. À un tel homme, nous lui disons reste couchĂ©, tes nuits sont plus belles que nos jours ! Laisse le regard d’Apollon se poser sur ceux qui peuvent supporter ses mortels rayons et rĂ©colter sa gloire. Mais garde-toi d’avoir les Ă©toiles plein la tĂȘte et sache bien ce qu’il en coĂ»te de monter trop haut. Les dieux se plaisent Ă  dĂ©truire ceux qu’ils remarquent. Ainsi, beaucoup prĂ©fĂšrent baisser la tĂȘte sous les regards des dieux. Oseras-tu, toi, notre frĂšre, les regarder en face ? Question Ă  un million d’euros comment, en 331 avant notre Ăšre, dans la plaine de GaugamĂšles, une armĂ©e de cinquante mille macĂ©doniens parvient-elle Ă  dĂ©faire une armĂ©e perse composĂ©e de prĂšs d’un demi-million d’hommes ? RĂ©ponse l’AUDACE ! Souvenons-nous de Danton De l’audace, encore de l’audace, toujours de l’audace ! » Toutefois, prenons bien garde ne pas perdre la tĂȘte. C’est le stoĂŻcien SĂ©nĂšque qui faisait remarquer que nous n’osons pas les choses non pas parce qu’elles sont difficiles, mais qu’au contraire, elles sont difficiles parce que nous ne les osons pas ! Comme dit la publicitĂ© de la Française de Jeux Cent pourcent des gagnants ont tentĂ© leur chance ! ». Mais l’audace ne naĂźt pas ex nihilo
 On ne peut pas faire fi de la nature humaine ni du caractĂšre de tout un chacun. LĂ , toutefois, on touche au nƓud gordien du problĂšme, qui est de savoir si nos attributs dĂ©pendent de notre nature ou alors de notre environnement. Tout ce qui peut ĂȘtre imaginĂ© peut ĂȘtre rĂ©alisĂ©. L’esprit de l’homme est ainsi fait que tout ce qu’il conçoit sous sa caboche il peut le rĂ©aliser de ses mains. Aucun rĂȘve, ni mĂȘme le plus fou, aucun projet, ni mĂȘme le plus insensĂ©, ne lui est dĂ©fendu. Rappelez-vous ce dĂ©ment qui, un jour, a inventĂ© la roue ! Souvenez-vous de cet homme ou de cette femme qui un beau jour s’est mis Ă  peindre dans des grottes
 il y a quarante mille ans ! Et de cet autre qui voulu atteindre les Indes par une autre route que celle empruntĂ©e habituellement Ă  son Ă©poque
 il y a cinq cents ans ! Des fous ? Des rĂȘveurs ? Non ! Seulement des hommes qui ont osĂ© !Qu’est-ce qu’un grand homme? Deux thĂ©ories s’affrontent. Pour Carlyle, ce sont les grands hommes qui font l’histoire. Pour TolstoĂŻ, ce sont les conjonctures de l’histoire qui fabriquent les grands hommes. Edgar Poe nous dit dans une de ses histoires extraordinaires que le jeu de dames tĂ©moigne davantage de l’intelligence que le jeu d’échecs ; dans le premier, selon lui, le joueur doit tout calculer alors que dans le deuxiĂšme, il existe une marge pour la crĂ©ativitĂ©. Il a raison, si l’on accepte le postulat que l’intelligence n’est qu’une question de calcul. Il a tort, si l’on considĂšre que l’intelligence, la vraie, fait aussi appel Ă  la crĂ©ativitĂ©. C’est pour quoi, l’homme arrive Ă  battre le cerveau informatique aux Ă©checs Ă©tant donner que l’ordinateur ne fait que calculer alors que l’homme, lui, Ă©labore des stratĂ©gies. Aucune bataille n’a Ă©tĂ© gagnĂ©e uniquement en utilisant le calcul ; les plus grands gĂ©nĂ©raux, d’Alexandre Ă  Rommel, en passant par Hannibal, Scipion, Attila, Flavius Aetius, BĂ©lisaire ou NapolĂ©on ont fait montre de leur crĂ©ativitĂ© dans leurs batailles et c’est cela qui leur a valu leurs victoires. Pendant toute l’antiquitĂ© romaine, les pĂ©rils que durent affronter Rome ne venait pas seulement des tribus barbares » mais aussi, et Ă  certaines Ă©poques surtout, intra muros. Quand nous nous Ă©levons, d’autres de ce fait, descendent. C’est dans l’ordre des choses. Et il faut savoir l’accepter. Certains proverbes frappent juste ; le bonheur des uns fait le malheur des autres » est un de ceux lĂ . Selon la thĂ©orie malthusienne[2], alors que les ressources humaines augmentent de façon arithmĂ©tique, la population, elle croĂźt de maniĂšre exponentielle ; la consĂ©quence de cela peut se rĂ©sumer dans la pĂ©remptoire assertion de Hobbes[3] l’homme est un loup pour l’homme ! C’est donc, armĂ© de cette sombre luciditĂ©, que tu dois avancer dans la vie. ConsidĂšre chaque ami comme un ennemi en puissance, chaque femme comme une femme qui pourrait te tromper, chaque frĂšre comme un faux-frĂšre, chaque pĂšre comme un pĂšre illĂ©gitime. Mais
 qu’entendons-nous lĂ  ? Ce sont les clameurs de la plĂšbe ! Les moutons bĂȘlent Est-ce lĂ  la morale que vous prĂȘchez ? » Nous rĂ©pondons Ă  ces ruminants Gardez-vous de bĂȘler trop fort, il vous en cuirait ! Prenez soin de rester en troupeau, sans quoi vous risqueriez de vous faire tondre ! La morale, dites-vous ? Nous sommes tout disposĂ©s Ă  laisser cette superstition aux esclaves. La morale, criez-vous ? Nous vous la laissons volontiers votre morale qui vous mĂšnera tout droit Ă  l’abattoir
 et longtemps aprĂšs que vous aurez ruminĂ© votre morale, vous serez dans nos assiettes ! » En GrĂšce prĂ©socratique, vivait un philosophe qui demeurait dans le plus parfait dĂ©vouement. Ses heures Ă©taient dĂ©diĂ©es Ă  l’étude et la contemplation. Ses concitoyens nourrissaient envers lui un grand courroux, car, disaient-ils, toute sa science, toute sa Sophia ne lui servait Ă  rien puisqu’il ne lui permettait pas de s’enrichir. Grand mal leur fit. Il mit en pratique tout ce qu’il avait appris sur le climat et sur les plantes et dĂ©cidait de planter des lĂ©gumes Ă  un endroit oĂč d’habitude rien ne pousse. La plĂšbe, Ă  nouveau, se moqua de lui. Pure bĂȘtise bĂȘlaient-ils, ne sait-il donc pas que depuis que le monde est monde, rien n’a jamais poussĂ© ici et que seuls les scorpions, et encore ! trouvent leur compte sur cette morte terre. Et pourtant, Ă  cause d’un changement climatique que lui seul put prĂ©voir, cette endroit se trouva, comme par enchantement, devenir fertile. Il fit de grands bĂ©nĂ©fices de ces rĂ©coltes et il tint ce discours Ă  ceux qui avait rit de lui Pauvres gens, si je vis dans la pauvretĂ©, ce n’est pas parce que mon savoir ne me sert Ă  rien, mais seulement parce que je n’ai besoin de rien. La sagesse est ma seule richesse. » Quand bien mĂȘme nous reconnaissons Ă  ce philosophe dont nous tairons le nom eu Ă©gard Ă  sa famille une grandeur d’ñme et une noblesse d’esprit sans pareille, nous n’abonderons pas totalement dans son sens. Nous considĂ©rons que le bonheur consiste en un peu plus que de vivre d’amour et d’eau fraiche et nous dirons Ă  cet ivrogne de KhayyĂąm, qui affirmait que le bonheur consistait Ă  tourner les pages d’un livre de poĂ©sie, en se versant du vin, la tĂȘte sur le sein d’une femme, qu’il n’a jamais eu Ă  contracter une assurance maladie, Ă  payer d’impĂŽts ou Ă  acheter de fastueux prĂ©sents Ă  une belle femme. Oui ! nous aimons nous enivrer de poĂ©sie, oui ! nous aimons Ă  philosopher avec Thomas d’Aquin ou Ă  dĂ©battre avec CicĂ©ron
 mais nous n’aimons pas que ça. A la lecture d’un livre de Rousseau, Voltaire lui Ă©crivait pour lui dire qu’en lisant son livre, il avait envie de retourner dans les bois marcher Ă  quatre le tableau L’école d’AthĂšnes de Raphael, nous voyons au centre les deux fondateurs de la philosophie occidentale, Aristote et Platon. Tandis que le deuxiĂšme lĂšve le doigt vers le ciel, illustrant ainsi que c’est l’autre monde » qui doit primer, un monde suprasensible, le monde des idĂ©es entendu dans son sens grec de Eidos, le premier dirige son index vers le sol, voulant ainsi signifier que c’est ce monde-ci qu’il faut privilĂ©gier, le monde matĂ©riel, le monde Hic et Nunc », d’ici et maintenant. Contre Platon, nous prenons le parti du Stagirite. La pensĂ©e est stĂ©rile si elle n’est pas accompagnĂ©e d’actes. Que valent tous les discours du monde si on n’est point Ă©coutĂ© ? Quel succĂšs aurait rencontrĂ© CicĂ©ron avec ses Catilinaires s’il s’était adressĂ© Ă  un public sourd ? Mais comme le faisait remarquer trĂšs justement le petit JĂ©sus Occulos habent et non videbunt, aures habent et non audient ! Ils ont des yeux mais ne voient pas, ils ont des oreilles mais n’entendent pas ! Ainsi, il convient d’abord de convaincre son auditoire. Pour comprendre un sujet, il faut toujours se tourner vers les Grecs, et quand on se tourne vers les Grecs, il faut souvent se tourner vers Aristote. Aristote, dans son livre La RhĂ©torique nous livre le secret de l’art oratoire ; selon lui, l’orateur doit faire preuve de trois choses le λγο, le Ï€ÎŹÎžÎż et lâ€™áŒ”ÎžÎż. Le Logos, en grec, veut autant dire verbe que raison ; ainsi, l’orateur doit faire user de sa raison et s’adresser Ă  la raison de son auditoire. Il doit ensuite jouer sur les Ă©motions Pathos, autant celles qui l’habite que celles qui habitent son public. Enfin, il met en exergue son caractĂšre Ethos, caractĂšre entendu dans son sens large, c’est-Ă -dire, ce qui le constitue comme homme ; de la sorte, il met en avant ses origines familiales, la classe dont il est issu, sa moralitĂ©, et il fait aussi appel Ă  ses mĂȘmes attributs qui se trouvent dans l’assistance. Si vous voulez vous faire entendre par des gens d’une classe dĂ©favorisĂ©e, mettez en avant vos origines prolĂ©taires ! Si vous voulez capter l’attention d’une race ou d’une minoritĂ© quelconque, montrez en rhĂ©torique, il n’est pas nĂ©cessaire de dĂ©montrer que vous partagez les mĂȘmes descendances que ceux-lĂ  dont vous demandez l’adhĂ©sion. Trois cents ans aprĂšs le prĂ©cepteur d’Alexandre, CicĂ©ron ne nous dit pas autre chose. Pour lui, un bon discours doit comporter trois Ă©lĂ©ments Docere, delectare, movere. On nous opposera que les lecteurs du prĂ©sent livre ne cherchent pas forcĂ©ment Ă  soulever les masses ou Ă  se prĂ©senter Ă  une Ă©lection prĂ©sidentielle. Nous leur rĂ©pondrons que l’on n’enseigne pas les mathĂ©matiques Ă  l’école uniquement Ă  ceux destinĂ©s Ă  devenir des Bertrand Russell ou des Albert Einstein ! La parole n’est pas rĂ©servĂ©e uniquement Ă  ceux qui ont Ă  se prĂ©senter Ă  un scrutin. La vie de tous les jours foisonnent d’occasion oĂč l’on est amenĂ© Ă  convaincre l’autre. Ainsi, on devra amadouer un patron rĂ©calcitrant pour qu’il nous accorde une promotion, Ă  persuader le Fisc que nos revenus sont bien ceux que l’on a dĂ©clarĂ©s, ou encore, convaincre sa chĂšre moitiĂ© que l’on n’a pas fricotĂ© avec sa meilleure amie ! ContrĂŽlez les mots et vous contrĂŽlerez votre monde. Qu’importe votre intime conviction, vous devez pouvoir dĂ©fendre n’importe quelle cause ! Quand bien mĂȘme vous seriez contre la peine de mort, vous devez pouvoir argumenter pour la position adverse. Comment ? nous entendons des murmures parmi nos candides lecteurs ; des murmures que nous avons peine Ă  distingue tant ils sont le produit d’un esprit malade et ravagĂ© par le politiquement correct. Mais nous tendons l’oreille et nous croyons entendre un reproche
 ils nous traitent de Cyniques » ! Oui, nous le sommes
 Ă  la maniĂšre d’un DiogĂšne qui se disait libre et heureux comme un chien
 Et surtout, n’oubliez pas, la meilleure façon de se faire refuser quelque chose, c’est de demander la permission
 alors, si vous pensez que vous mĂ©ritez une chose, n’attendez pas qu’on vienne vous l’apporter sur un plateau, sans quoi c’est votre propre tĂȘte que l’on apportera, tel un Jean-Baptiste qui a eu l’outrecuidance d’outrager la sensuelle Salomé  Non ! N’allez pas non plus la mendier ! Allez la prendre, et pas la fleur au fusil ! John Ruskin disait Les livres peuvent se diviser en deux groupes les livres du moment et les livres de toujours. L’illettrisme est certes en baisse, l’écrit envahit tout notre monde, depuis les panneaux publicitaires jusqu’aux SMS que l’on envoie en passant par les messageries instantanĂ©es sur Internet, mais sait-on vraiment lire ? Et surtout, sait-on quoi lire ?Pendant la Rome impĂ©riale, aprĂšs qu’un gĂ©nĂ©ral ait remportĂ© de grandes batailles, il dĂ©filait alors, vĂȘtu d'une tunique de pourpre, dans les rues de la CitĂ© Ă©ternelle pour un triomphe. Lors de ces cĂ©rĂ©monies, un esclave accompagnait le gĂ©nĂ©ral victorieux tenant au-dessus de sa tĂȘte une couronne de lauriers et lui rĂ©pĂ©tant ces mots Respice post te ! Hominem te esse memento ! ce qui signifie, dans notre belle langue française Regarde derriĂšre toi ! Rappelle-toi que tu n’es qu’un mortel ! Remporter du succĂšs n’est rien. Le prĂ©server est tout ! En effet, n’importe qui, ou presque, s’il joue de la chance, peut devenir riche ou cĂ©lĂšbre rappelez-vous la prophĂ©tie de Warhol qui veut que chacun dans sa vie ait droit Ă  quinze minutes de cĂ©lĂ©britĂ© ; par contre, une fois que la fortune nous eut sourit, ou alors qu’on lui a forcĂ© Ă  nous sourire tel Ă©tait d’ailleurs le dessein de ce livre ne pas attendre que le succĂšs se dĂ©pose sur nous par l’opĂ©ration du Saint-Esprit mais aller le cueillir avec ses tripes il faut savoir le dĂ©fendre et le faire fructifier. L’histoire est riche en enseignements sur ce sujet. L’historien franco-britannique Hilaire Belloc disait Carthage n’avait pas le dĂ©sir de crĂ©er mais seulement de profiter ; en consĂ©quence, elle ne nous a rien laissĂ©. » En effet, combien, Ă  l’instar du gĂ©nĂ©ral carthaginois, qui a campĂ© devant Rome sans la prendre, ont Ă©chouĂ© au seuil de l’immortalitĂ© ? Ceux-lĂ  sont lĂ©gions qui ont su vaincre mais rien bĂątir Est-ce dĂ» Ă  ce dĂ©mon de la perversitĂ©, pour parler comme Poe, et qui nous habite ? Il y a-t-il une beautĂ© dans l’échec ? du romantisme ? Le Japon de la pĂ©riode Edo avait un terme pour dĂ©signer une telle mĂ©lancolie mono no aware, et qui signifie Ă  peu prĂšs Ă  peu prĂšs, car traduttore traditore la triste beautĂ© des choses qui passent. Toutefois, si on en croit Aristote, la mĂ©lancolie est le signe de l’homme de gĂ©nie. Quand Gregor Samsa se rĂ©veilla, il se retrouva changĂ© en cancrelat. Nous ne sommes pas Huysmans mais nous allons nous aussi vous raconter une histoire Ă  rebours. C’est une histoire d’alchimie, ou comment on arrive Ă  changer l’or en plomb, Ă  retransformer le cancrelat en humain, voire en surhumain. Mais point de pierre philosophale dans notre histoire, seul notre caractĂšre guide notre destin. Toutefois, on peut le faire pencher d’un cĂŽtĂ© de la balance ou de l’autre. M. K. Sabir[1] A ceux qui nous reprocheraient notre usage abusif 1a de citations de nos jours, est considĂ©rĂ© comme une tare que d’avoir de la culture, nous leur cracheront Ă  la figure une autre citation, celle de Montaigne, qui dit Je dis les autres pour mieux me dire ». 1b1a Mais nous disons aussi Uti et abuti ! Usez et abusez ! Car comme le fait remarquer si bien le divin marquis Eh oui ! une autre citation dans ta gueule ! Ce n’est que dans l’excĂšs que se trouve le plaisir ! 1c1b ConsidĂ©rez cette note en bas de page comme un exorde !1c Pour ceux qui commenceraient dĂ©jĂ  Ă  nous dĂ©tester, nous leur rĂ©pondrons allez-y gaiement, plus vous nous dĂ©testerez, plus notre orgasme sera jouissif, car comme le disait l’homme au gros nez, celui-lĂ  mĂȘme qui moralement a ses Ă©lĂ©gances soyons fous ! va pour une quatriĂšme citation ! DĂ©plaire est mon plaisir, j’aime qu’on me haĂŻsse ! » 1d1d A l’usage de ceux qui viennent tout juste de remarquer que nous avons eu l’audace de mettre des notes en bas de page Ă  des notes en bas de page, nous leur disons, tout simplement, et avec toute la pondĂ©ration qui nous caractĂ©rise ET ALORS ? [2] De Thomas Malthus, qui peut ĂȘtre considĂ©rĂ© comme le Schopenhauer de l’économie politique. Voir son livre Principes d'Ă©conomie politique au point de vue de leur application pratique. [3] Voir son livre Le LĂ©viathan.
jai donc dĂ©roulĂ© mes rĂȘves sous tes pieds Marche doucement, car tu marches sur mes rĂȘves.. RĂ©pondre O. olivier. 09/03/2006 04:11 . une traduction en français ne vaudrait rien, ce poĂšme peut difficilement ĂȘtre traduit. Les traductions rĂ©alisĂ©es ne me conviennent pas. j'espere que celui ou celle qui le lira saura l'apprĂ©cier . william butler - yeats He wishes for
Ce voyage consiste, dans un premier temps, Ă  traverser l'Espagne 2 mois comme une sorte d'initiation, pour ensuite passer outre-atlantique et faire Canada-Terre de feu en un an. Je pars seul, Ă  pied avec mon sac Ă  dos et tout l'attirail du parfait petit campeur. L'idĂ©e Ă©tant, d'apprendre Ă  parler espagnol et anglais, Ă  rencontrer des gens bien cool, Ă  dĂ©couvrir pleins de belles choses et de nouvelles expĂ©riences petite pensĂ©e Ă  manzin. Je pars l'esprit ouvert et le cƓur lĂ©ger. Les moyens de dĂ©placement seront variĂ©s, auto-stop, bus, train, pousse-pousse, monocycle, aquaplanning... j'en passe et des meilleurs, en gros, je compte me mouvoir par tous les moyens possibles, pourvu qu'ils ne soient pas trop onĂ©reux. Mon logement sera sur mon dos et lors de grande Ă©tapes Barcelone, Grenade, SĂ©ville je dormirai tant que possible chez l'habitant couchsurfing, woofing ou mĂȘme au culot. Mon sac est presque prĂȘt, ma condition physique laisse Ă  dĂ©sirer, mon itinĂ©raire reste Ă  ĂȘtre tracĂ©. Je pense partir pour l'Espagne dĂ©but DĂ©cembre...qui va piano va sano.
JulianaOlivera rĂ©alise ses rĂȘves Ă  Nogent-sur-Seine. La jeune mĂšre de famille est arrivĂ©e en France il y a huit ans. Elle vient de crĂ©er son entreprise en tant qu’esthĂ©ticienne. Juliana Olivera dĂ©livre un message de persĂ©vĂ©rance. Juliana Olivera est esthĂ©ticienne Ă  domicile. « C roire en ses rĂȘves ». C’est une phrase que les
Nico Arach... Une entitĂ© humaine nĂ©e en hiver dans une enclave amĂ©ricaine de Paris... La philosophie et l'histoire l'amĂšneront Ă  poser un premier regard curieux et dubitatif sur le monde, la focale d'un appareil photo supplĂ©era vite Ă  l'oeil et Ă  l'idĂ©e qui l'allume et Ă©claire ses interrogations. La quĂȘte de l'homme devient alors celle du photographe. le voyage ne tient pas compte des frontiĂšres des hommes et des genres, le voyage est pluriel et, au bout, la rĂ©ponse n'est que poĂ©sie... Des manifestations de l'Art en Capital au Grand Palais parisien, au salon poly-artistique des FĂ©erotiques de Rennes, des salles du Barock' CafĂ©, aux caves de la Cantada, Des pages de Mad magazine aux quais de Cancale, d'une vieille chapelle bretonne aux murs de DĂ©monia, les oeuvres de Nico Arach accrochent le regard, souvent mĂȘme le coeur, et se dĂ©crochent alors pour d'autres sourires et d'autres voyageurs... Camille De F. . 404 286 24 185 139 340 381 422

marche doucement car tu marches sur mes rĂȘves