Noussoutenons le collectif "de l'éthique dans l'étiquette" "Mondialiser les droits humains au travail" Créé en 1995, le collectif Éthique sur l’étiquette regroupe des associations de solidarité internationale, des syndicats, des mouvements de consommateurs et des associations d’éducation populaire. Depuis septembre 2007, le collectif s’est constitué en association (loi
Cet article date de plus de neuf ans. Suite à l'effondrement d'un bâtiment au Bangladesh qui a coûté la vie à plus de 1100 employés, des géants de l'habillement ont signé un accord sur la sécurité des usines au Bangladesh. Mais les conditions de travail des ouvriers du textile ne sont pas forcément meilleures ailleurs. Les consommateurs ont le pouvoir de faire évoluer la situation. Article rédigé par Publié le 17/05/2013 0850 Mis à jour le 09/05/2014 2331 Temps de lecture 1 min. Où et dans quelles conditions sont fabriqués les vêtements que nous portons ? Chine, Inde, Cambodge, Bangladesh, la lecture des étiquettes pourrait ressembler à une invitation au voyage... un voyage dans l'enfer d'ateliers insalubres. Au Cambodge, les femmes sont si peu payées qu'elles ne peuvent pas se nourrir correctement, et perdent régulièrement connaissance sur leur lieu de travail. Au Bangladesh, dans des centaines d'usines, les ouvriers du textile, pour répondre à la demande, peuvent travailler jusqu'à 90 heures par semaine, pour des salaires de misère. Depuis près de 20 ans, le Collectif Éthique sur l'étiquette se bat pour que les droits de ses travailleurs soient respectés, et pour qu'ils soient rémunérés décemment. Le Collectif Éthique sur l'étiquette rassemble une vingtaine d'associations et de mouvements de consommateurs . Il appartient est la branche du réseau européen Clean Clothes Campaign. Suite a l'effondrement d'un bâtiment au Bangladesh qui a coûté la vie à des centaines d'ouvriers du textile, et suite à la signature d'une pétition par plus d'un million de consommateurs à travers le monde, la plupart des grandes marques internationales de l'habillement se sont engagées en faveur de la sécurisation des usines. En France Carrefour est la première marque à avoir signé cet accord.
Paris le 21 janvier 2015 – Alors que la justice vient de classer sans suite deux procédures relatives à des atteintes aux droits fondamentaux de populations par des multinationales françaises, Sherpa, le Collectif Éthique sur l’étiquette, Peuples Solidaires-ActionAid France et Indecosa CGT appellent à l’adoption de la proposition de loi sur le devoir de vigilance
Son but est, comme le Collectif national dont il dépend, de défendre les droits des travailleurs. En effet, ces derniers sont trop souvent exploités par les multinationales qui ne respectent pas le droit international du travail. Celui-ci est fondé sur les principes de la Déclaration Universelle des droits de l’Homme et plus précisément sur les 8 conventions essentielles de l’OIT. En Corrèze, le collectif a été créé en 2001, année d’élections municipales, lors de la campagne Achats publics, achats éthiques ».Nos tâches principales sont d’informer par divers moyens et de faire signer des pétitions qui appuient des luttes mondiales, non violentes, de travailleurs. Par exemple les luttes pour un salaire vital en Asie, pour soutenir les ouvriers du Bangladesh et leurs familles après la catastrophe du Rana Plaza, pour la loi sur le devoir de vigilance en France. Nous faisons connaître les campagnes en cours par internet mais aussi en faisant de la sensibilisation citoyenne sur le terrain et en étant relayés par la presse locale, en participant à des événements publics comme le Forum des associations, la Semaine de la solidarité internationale, et à des journées festives, en organisant des soirées projection et débats etc. Actuellement notre collectif comprend le CCFD Terre-Solidaire, Corrèze-Environnement, l’UFOLEP, l’Union départementale des retraités CFDT. D’autres associations nous soutiennent. Nous avons besoin de plus de forces. Rejoignez-nous ! Contact Gilberte Catalifaud mail Cen’est qu’en l’absence de suppléant de même appartenance syndicale qu’un suppléant appartenant à la même catégorie mais d’une autre étiquette syndicale peut être désigné. Autrement dit, selon la Cour de cassation, les règles de suppléance font primer l’étiquette syndicale sur le collège d’appartenance. De l’éthique sur l’étiquette Pour privilégier les produits de bonne qualité sociale, un collectif s’est créé en se fixant un certain nombre d’objectifs qui recoupent des questions d’éducation. Une campagne nationale d’action a été mise en place.. Depuis plusieurs années des campagnes nationales telles Libère tes fringues, Soyez sport, et Commerce équitable ont été lancées à l’initiative d’Artisans du monde et d’Agir ici. Elles ont pour objectif de sensibiliser les consommateurs sur la question de la qualité sociale » des produits qu’ils achètent. Un collectif s’est créé*. Les Ceméa ont décidé d’en faire partie parce qu’en tant que mouvement d’éducation cet enjeu de société traverse leur champ de pratiques et d’actions. Éducation contre le racisme, droits des enfants, éthique sur l’étiquette autant de questions de société qui ouvrent au regard du projet des Ceméa, d’éducation populaire et de formation d’acteurs bénévoles volontaires ou professionnels, un vaste chantier pédagogique et citoyen. Exploitation d’enfants, salaires dérisoires, heures supplémentaires obligatoires et non rémunérées, répression antisyndicale à l’encontre d’ouvriers dont le seul tort est de demander des conditions de travail décentes... Dans le monde entier, les centaines de milliers de personnes qui produisent les vêtements, les chaussures de sport ou les ballons de football que nous achetons, travaillent trop souvent dans des conditions inacceptables. Des conditions de production inacceptables Pourtant, il existe des règles définies par l’Organisation internationale du travail OIT, interdisant le travail forcé, l’exploitation des enfants, le non respect de la liberté syndicale, la discrimination entre individus d’origine, de religion ou de sexe différents... Dans le monde, de nombreux pays se sont engagés à respecter ces principes fondamentaux, mais l’écart entre les déclarations et la réalité reste énorme. C’est pourquoi, nous pouvons être amenés à acheter des vêtements et des chaussures de sport fabriqués dans des conditions inadmissibles. En effet, actuellement les consommateurs ne disposent d’aucune garantie leur permettant de privilégier les produits de bonne qualité sociale ». Un objectif la création d’un label social... Face à cette situation, le collectif De l’éthique sur l’étiquette » s’est fixé les objectifs suivants Faire adopter, par plusieurs chaînes de distribution et fabricants, le code de conduite élaboré par le collectif. En adoptant ce code de conduite, les entreprises doivent s’engager, auprès de leurs clients, à respecter et promouvoir les droits de l’homme au travail absence d’exploitation d’enfants, interdiction de l’esclavage, respect de la liberté syndicale, salaires décents.... Ces entreprises doivent également accepter qu’un organisme indépendant et transparent contrôle le respect du code de conduite. Lorsque les violations sont constatées chez un fournisseur, celles-ci devront cesser dans un délai précis. Si elles persistent une fois passé ce délai, le distributeur devra arrêter toute relation commerciale avec ce fournisseur. Ceci constitue un premier pas vers la création d’un label social qui permettra aux distributeurs de mettre de l’éthique sur l’étiquette. Avec ce label, les consommateurs disposeront d’une garantie de bonne qualité sociale ». Début 1997, le VIIIe baromètre de la solidarité du CCFD indiquait que 72 % des Français accepteraient d’acheter un peu plus cher des marchandises d’importation produites dans des conditions sociales satisfaisantes. Des résultats encourageants Depuis deux ans, la participation croissante aux campagnes Libère tes fringues ! et Soyez sport ! 1995-1996, qui ont fusionné fin 96 pour prendre le nom de campagne De l’éthique sur l’étiquette, confirme l’importance que les consommateurs accordent à la qualité sociale » des produits qu’ils achètent. En 1998, plus de 130000 personnes ont signé la pétition nationale, contre 80000 et 20000 les années précédentes. Cette mobilisation a conduit certaines entreprises et organisations patronales à ouvrir un dialogue avec le collectif De l’éthique sur l’étiquette » adoption d’un code de conduite par Auchan qui accepte d’expérimenter un système de contrôle indépendant à partir de 1998, négociations avancées avec Carrefour et Camaïeu, ouverture de discussions avec le Conseil national du commerce auquel a été remise la pétition, en juin 1997, reprise de contact avec Décathlon, qui travaille à l’élaboration d’une charte sociale destinée à ses fournisseurs novembre 1997. De son côté, le 15 mai 1997, le Parlement européen a adopté une résolution apportant son soutien à la campagne européenne Clean Clothes, une coordination réunissant des collectifs associatifs et syndicaux travaillant sur ce thème dans neuf pays dont De l’éthique sur l’étiquette, en France. Cette résolution demande à la Commission européenne de travailler à la création d’un label social. Les résultats obtenus en France en seulement deux ans, montrent que les distributeurs sont sensibles aux pressions des consommateurs. Il s’agit d’un phénomène mondial qui prend de l’ampleur. Quelques exemples concernant la seule année 97 Février 1997 accord entre les autorités pakistanaises, le Bureau international du travail et l’Unicef, soutenu par une cinquantaine de marques américaines, visant à éliminer l’emploi d’enfants dans la fabrication de ballons de football cousus main, au Pakistan 75 % de la production mondiale, 7000 enfants concernés et à améliorer leurs conditions de vie. Septembre 1997 Euratex, qui regroupe les industriels du trafic et de l’habillement, et la Fédération syndicale européenne de ce secteur ont signé un code de conduite encourageant » les entreprises à respecter les droits sociaux fondamentaux définis par l’Organisation internationale du travail. Il s’agit d’une première avancée, bien que le contenu de l’accord soit peu contraignant. Novembre 1997 accord entre les syndicats italiens et la multinationale italienne du jouet Artsana marche Chicco.... Cette dernière, qui sous-traite une grande partie de sa production en Chine, s’engage à faire respecter les règles de l’OIT. Elle accepte que cet engagement soit contrôlé par un organisme indépendant auquel les syndicats seront associés. Différentes actions pour 1998-1999 Sont prévues une mission du collectif dans deux ou trois pays du sud, des tournées de partenaires du Sud en France dans dix villes, la conception de matériel d’éducation et d’information affiche, kit campagne, publications, expos.... Parmi celles-ci, une campagne en direction des candidats aux élections européennes de juin 1999 sera mise en place. Les collectifs ou associations localement seront invités à adresser un courrier aux candidats leur demandant de s’engager à intervenir auprès de la commission européenne afin qu’elle travaille à la création d’un label social. Vous pouvez également continuer d’envoyer des cartes postales aux directeurs des magasins de sports les plus proches ou au siège national de ces entreprises. Christian Gautellier* Agir ici, ASPAL, CCFD, Ceméa, CFDT et notamment ses organisations ASSECO, fédération HACUITEX et Services, Institut Belleville et SGEN, CIMADE, Collectif Guatemala, CSCV, Etudiants et Développement, Fédération Artisans du Monde, Fédération des Clubs Unesco, Francas, Frères des Hommes, FSGT, JEC, JOC, Léo Lagrange-Consommation, Ligue des Droits de l’Homme, Ligue de l’Enseignement, Max Havelaar-France, PEP, RITIMO. novembre 1998 - mai 1999 Pour toute information, contacter Christian Gautellier ou Joél Chanoir, au siège de l’association nationale des Ceméa. Pour toute demande des documents de campagne, contacter directement le collectif De l’éthique sur l’étiquette, c/o Fédération Artisans du monde, 67 avenue de la République, 75011 Paris. 30/04/1999
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LaLDH est membre du collectif “De l’éthique sur l’étiquette” [1] qui a pour objectifs de : 1) Sensibiliser les consommateurs afin de les inciter à acheter des produits de bonne qualité sociale Depuis 1995, le collectif a lancé 3 campagnes intitulées respectivement : « Libère tes fringues » (1995/96), « De l’éthique sur l’étiquette » (1996/97) et « Jouez le jeu
Statut Organisation Membre du Conseil d’Administration Membre actif ReprésentantNayla Ajaltouni Le Collectif Éthique sur l’étiquette regroupe une vingtaine d’associations de solidarité internationale, de syndicats, de mouvements de consommateurs et d’associations d’éducation populaire. Il agit en faveur du respect des droits humains au travail et de la reconnaissance du droit à l’information des consommateurs. Le collectif mène des campagnes de sensibilisation de l’opinion publique dans le but d’inciter les entreprises à modifier leurs pratiques d’achat et de favoriser un progrès social négocié chez leurs fournisseurs et sous-traitants. Promouvoir la Responsabilité sociale des entreprises et des administrations publiques en faveur du respect des normes internationales du travail le long de leur chaîne d’approvisionnement Soutenir les syndicats et ONG du Sud dans leurs revendications sur la question des droits humains au travail Sensibiliser les consommateurs à la qualité sociale de leurs achats Renforcer la régulation publique des activités des entreprises transnationales en matière de droits humains L’action du collectif se concentre sur des secteurs à forte intensité de main d’œuvre, tels que le textile, les jouets ou les articles de sport. ESE est la branche française du réseau européen Clean Clothes Campaign. 4 boulevard de la Villette 75019 Paris 01 42 03 82 25  Confédération Générale du Travail  CRID  Interviewde Jacques Puhl, coordinateur du collectif Éthique sur l'étiquette pour Dijon Métropole, regroupant une dizaine de membres actifs et Changer nos modes de vie et de consommation dans le sens de la transition, c’est aussi nous préoccuper des conditions de fabrication des vêtements, chaussures, etc. que nous portons. Depuis 20 ans, le collectif Éthique sur l’Étiquette » met en lumière les conditions de fabrication dans la filière textile pour faire avancer […] Postépar Collectif le 24/11/19 à 12:05. Édité par Benoît Sibaud, Étiquettes : revue_de_presse; éthique; unesco; 24. 12. nov. 2019. Cette revue de presse sur Internet fait partie du travail de veille mené par l’April dans le cadre de son action de défense et de promotion du logiciel libre. Les positions exposées dans les articles sont celles de leurs auteurs et ne
L’activité mandataire judiciaire à la protection des majeurs » MJPM n’est pas une activité professionnelle comme les autres. Les professionnels exercent leur mission sur la base d’un mandat judiciaire auprès de personnes connaissant un certain nombre de vulnérabilités. Cette particularité des personnes protégées est aussi la raison pour laquelle une réflexion sur l’éthique de la profession est apparue essentielle. La parution de ce guide intitulé Repères pour une réflexion éthique des mandataires judiciaires à la protection des majeurs , en atteste. Afin de prévenir et d’agir, le dispositif général d’accompagnement et de protection des plus vulnérables peut et doit certainement s’appuyer sur le mandataire judiciaire à la protection des majeurs. Selon Anne Caron-Deglise, Avocate Générale près la Cour de Cassation, et Sylvain Bottineau, Sous-Directeur de l’enfance et de la famille Direction générale de la cohésion sociale, qui introduisent ce guide, la reconnaissance et l’organisation de ces professionnels si essentiels n’ont jamais encore été complètement actées. Dépendants étroitement des autorités judiciaires et administratives, qui les mandatent et les contrôlent pour les premières, qui les habilitent, les contrôlent et contribuent à leur financement pour les secondes, mais aussi pris en tenaille entre l’obligation de soutenir les choix de la personne et les interpellations quasi-incessantes des familles ou des partenaires inquiets et souvent démobilisés ou en retrait, les mandataires judiciaires à la protection des majeurs MJPM demeurent des acteurs dont la place exacte est méconnue . Les mandataires sont investis d’un pouvoir important, vis-à-vis duquel la fragilité de la personne protégée peut être grande. C’est pourquoi il est important qu’ils développent une conscience éthique, qu’ils sont conscients de leur responsabilité morale, et qu’ils réfléchissent par eux-mêmes et en groupe sur cette question ». Ce que le Guide dit sur les MJPM... "Très jeune métier "de l'engagement permanent et du risque", il n’a pas encore atteint sa majorité mais il bouillonne d’idées très pragmatiques et construit pas à pas sa spécificité dans un environnement complexe. Métier de la responsabilité professionnelle, personnelle, morale, le métier de mandataire judiciaire à la protection des majeurs MJPM s’insère dans une multitude d’autres interventions professionnelles, bénévoles, familiales, amicales ..., dont personne ne coordonne réellement l’action, les comptes étant demandés à posteriori. C’est donc un métier de l’engagement permanent et du risque. Métier de la relation, construit sur des fondamentaux techniques nécessairement robustes, ils ne sont pas réductibles au seul champ social ou au seul champ juridique ou de la gestion patrimoniale. Ils sont tout cela en même temps et sont investis de leur mission d’assistance ou de représentation des personnes dont les altérations ont été constatées médicalement par le mandat judiciaire". Les quatre activités clés du mandataire • Informer Communiquer Dialoguer • Évaluer Analyser Apprécier • Assister Représenter • Rendre compte Saisir Alerter Alors, dans le cadre quotidien de leur mandat, les MJPM sont confrontés très régulièrement à des conflits de normes, de valeurs, mais aussi d’objectifs et de priorités qui génèrent de vrais cas de conscience face à des injonctions paradoxales et à des situations de risques. Dans ce contexte, ce Guide est destiné à fournir des repères méthodologiques pour mener une réflexion éthique sur les pratiques professionnelles, prenant en compte les nombreux travaux déjà conduits par les acteurs eux-mêmes depuis des années dans un objectif d’accroître la compétence comme lesréflexes éthiques individuels et collectifs. Mais aussi de partage des expériences et de construction de réseaux d’actions concrètes. Au-delà, c’est la diffusion d’une culture du questionnement éthique dans la profession, chez les partenaires, dans les familles et dans la société tout entière qui doit être encouragée pour renforcer toujours la réelle considération des personnes protégées favorisant l’expression de leur parole et le respect qui leur est dû. Pour que la protection ne devienne pas une pure gestion. L’objet de ces travaux – interministériels justice et santé et pluridisciplinaires – est d’élaborer un outil national de réflexion sur l’éthique à destination des mandataires judiciaires à la protection des majeurs, qui met en exergue les valeurs dégagées par les activités clés et la posture éthique. La réflexion s’est développée sur la base d’une définition des activités clés élaborée par le groupe ». Télécharger le guide Repères pour une réflexion éthique des mandataires judiciaires à la protection des majeurs
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