OMMEje l'avais supposé avant de faire la connaissance de Mme de Villeparisis à Balbec, il y avait une grande différence entre le milieu où elle vivait et celui de Mme de Guermantes. Mme de Villeparisis était une de ces femmes qui, nées dans une maison glorieuse, entrées par leur mariage dans une autre qui ne l'était pas moins, ne jouissent pas cependant 403 ERROR The Amazon CloudFront distribution is configured to block access from your country. We can't connect to the server for this app or website at this time. There might be too much traffic or a configuration error. Try again later, or contact the app or website owner. If you provide content to customers through CloudFront, you can find steps to troubleshoot and help prevent this error by reviewing the CloudFront documentation. Generated by cloudfront CloudFront Request ID GxYushSiH3uSq1mh_Bd8qmTFIqPax51gvzvk8NPzyRk0MaxiFf7Pyg== Sil'art ne reproduit pas le visible mais rend visible, c'est bien parce que, pour lui, la réalité ne correspond pas à ce qui est visible, et parce qu'aussi ce que nous
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Commedisait Paul Klee : « L’Art ne reproduit pas le visible, il rend visible. », les œuvres UNYC suivent cette idée en leur apportant un intérêt artistique qui nous force à les considérer. Les passages de l’association se font rares et éphémères, l’opportunité de découvrir leurs œuvres en vrai est donc à saisir. UNYC propose ses œuvres pendant 10 "Guernica" de Picasso L’art ne reproduit pas le visible. Il rend visible Guernica-1937-Pablo Picasso 1881-1973 GUERNICA a été réalisé par Picasso en 1937. Celui-ci s'est inspiré du bombardement de la petite ville basque de GUERNICA, le 26 avril 1937, par l'aviation allemande au service de Franco. Guernica était une commande du gouvernement républicain espagnol pour le pavillon à l'Exposition Universelle de Paris de juillet 1937. Picasso, à travers ce tableau, symbolise l'horreur des conflits humains. Il représente cette horreur grâce à l'emploi de formes très crues montrant la cruauté humaine. Le bombardement de GUERNICA fit 2000 victimes essentiellement des femmes et des enfants. "La peinture n'est pas faite pour décorer les appartements; c’est une arme offensive et défensive contre l’ennemi", c'est ce que déclara Picasso à propos de Guernica. Ce tableau fut composé en quelques jours juste après le bombardement du village espagnol de Guernica par la Légion Condor. Ce tableau fut longtemps conservait au Museum of Modern Art de New York mais en 1981, il retourna en Espagne au musée du Prado. Il se trouve aujourd'hui au Musée National Reine Sophie à Madrid. Analyse des différents symboles du tableau Tout d'abord, au centre du tableau, la lampe. Cette lampe domine la scène. Elle a la forme d'un oeil ce qui peut représenter l'oeil du peintre qui souhaite montrer sa perception de l'événement. Elle peut signifier la lueur d'espoir malgré la tragédie de ce bombardement. Le taureau à gauche est l'incarnation de la brutalité, de l'obscurité dans la corrida. Dans ce tableau, il représente les Nationalistes dans cette guerre. Le cheval, quant à lui, incarne la victime innocente de cette corrida. Les différentes figures de l'animal traduisent la terreur, la douleur. Ce cheval représente le peuple opprimé et les Républicains. La colombe symbolise la paix. Or ici, elle se situe entre le taureau et le cheval et on peut remarquer qu'elle s'efface dans l'obscurité ce qui signifie que la paix est impossible entre les deux parties, qui s'opposent dans cette guerre, les Républicains et les Nationalistes. Le fantôme tient dans sa main une bougie. Il montre l'indignation de la communauté internationale qui veut faire la lumière sur ce qui vient de se passer. La fleur, en bas au centre, symbolise la fragilité, la vie et l'espérance. La mère à gauche, celle-ci a le sein dénudé et tient un enfant mort dans ses bras. Nous pouvons constater que ses yeux ont la forme de larmes ce qui accentue le désespoir. Ce symbole montre que la maternité est impossible, ainsi quele désespoir des paysans opprimés dans cette guerre. Le soldat, on le voit l'épée brisée. Il montre la détermination, la valeur, la lutte jusqu'à la mort. Il symbolise l'impossibilité de continuer la lutte, l'inégalité des armes, il est les Républicains. En effet, les républicains n'avaient pas les moyens militaires que possédaient les nationalistes. La femme qui boîte se situe en bas à droite. Sa blessure à la jambe l'empêche de marcher, elle est fascinée par la lumière de l'ampoule. Elle crie la liberté, l'idéal inaccessible. Malgré son handicap, elle continue de marcher vers la liberté. Le prisonnier est brulé vif. Nous pouvons constater qu'il implore Dieu le bras levé au ciel. Ses yeux sont en forme de larmes ce qui signifie la souffrance et la douleur. Guernica est un tableau militant contre le conflit espagnol qui débuta en 1936. Toutefois, malgré ses 68 ans, ce tableau n'a malheureusement pas perdu une ride. PaulKlee disait "l'art ne reproduit pas Le visible, il rend visible." C’est pourquoi la musique, par exemple, ne fait pas partie des arts plastiques, car le son est immatériel; une fois le concert donné, il n’y a plus de son. Par contre, une peinture de la préhistoire est toujours visible 40 000 ans après sa création, et nous pouvons ressentir l’intention de CARAVAGE L’ART NE REPRODUIT PAS LE VISIBLE, IL REND VISIBLE » Paul KleeMr Piguet et Mme Mathias Comment l’art peut rendre visible ce qui ne lest pas ?Paul Klee 1879-1940 Participe au cavalier bleu, mouvement expressionniste. Macke, Marc, et Kandinsky. Volonté de voirles aspects radieux de la lumière. Il connaît un moment de gloire pendant la 1ère Guerre mondiale où il pers Macke et est très impressionné par les travaux de Delaunay sur la lumière. Francophile il résiste au nationalisme,il fait parti du groupe d’artiste qui vont être protégé par le roi de Bavière et donc envoyés en réserve. Klee s’intéresse au diverses possibilités des outils de la peinture. Peindre avec quoi, sur quoi et non plusseulement peindre quoi le sujet en soi est certainement mort, c’est la sensibilité au sujet qui passe aupremier plan ». Il ajoute ensuite plus important que la nature et les études d’après nature est l’accord del’artiste avec le contenu de sa boite de couleur ». Il y a le volonté de dire ce qu’il y a d’ veut explorer les outils même de la représentation. Les faire aller dans un espace qui va rendre compte d’unirrationnel, d’une monde qui a d’autre lois. La réalité des choses visible est maintenant rendu évidente. Lesoutils de la peinture servent à dépasser une forme de rationalité du visible. Mythe de la fleur » de Paul fleur est centrale. L’oiseau plonge dessus. Il est en flèche, il oriente le regard vers le centre qui est la n’y a pas de profondeur à la clairière. Le tableau perturbe notre sentiment de l’espace. Ce côté tournoyantde la construction de l’espace renvoi à quelque chose de l’ordre du cycle. Cycle, gamme lunaire, tranché parl’oiseau. Dire qu’un tableau est un mythe, c’est déjà un programme. Il y a mythe au sens de parole, d’ de sexualité, de l’avion. Le mythe de la fleur comme ce qui appelle une parole. De prendre comme titre le mot parole, ca signifie que lelangage dit quelque chose d’un autre ordre. C’est le mythe que s’est inventé Klee et que nous ne pouvonsqu’analyser. Il y a une grammaire visuelle propre à Klee. Peut-être terme de mythe ironique, la force du rouge et la violence de l’oiseau semble contredire le côtéenfantin du Icône/Idole L’idole est ce que l’on voit mais qui va conduire et bloquer notre regard, nous transformant en voyeur. Il y al’idée d’une saturation qui rend tout de suite visible et nous empêche donc de c’est là où on est moins celui qui voit que celui qui est vu. L’icône ne résulte pas d’une vision mais laprovoque. Il parle de la kénose, la dépossession pour faire voir l’ invu » pour distinguer ce qui restera invisible que cequi n’était pas vu. Mise en question de l’image pour l’art au 20ème siècle. Nous sommes des adonnés, c'est à dire des personnes constituées principalement par un moment d’acceuil, derencontre ; Je suis moins un sujet qu’un adonné, quelqu’un à qui la vie etc etc a été donné. L’appel n’estvisible sur ce tableau que dans l’acceuil qui va lio être fait. Il s’autodésigne,. La conversion de Saint Paul sur le chemin de Paul est aveuglé par la lumière divine pendant 3jours puis Saitn Paul e convertit à ce moment là. Lalumière n’est pas montrée comme émanant de Dieu. Le cheval n’a peut-être jamis pris autant d’importance, lesujet même de la conversion est renouvelle, il est décentré. Quelle époque ? Fin 16ème début 17ème. Importance par rapport à cette notion de baroque. Le Caravage estconsidéré comme baroque. Il est avant considéré comme classique. Il y a du baroque avant et après leclassicisme. Le Caravage peint dans de nombreuses églises à Rome à partir de 93. Il se met au service d’un certain JosephCesari connu sous le nom de Cavalier d’Arpin, peintre attitré du Pape Clément VIII. Il entre dans un atelier,va peindre des fruits, des fleurs. A la charnière de la fin du 16ème, début 17ème. Commande importante pour San
Уሚևмጀсрևцу ራαх χሰբЛፋአեዉ ፊጺթխሚулօμ
Яኑևገխд ሦаψጲсቁсв աжևዕաжеИ агабխռивևኻ
ቅуյаβօжըξխ βፏጲетучПроսիтвате исвθгυгл
Еդаፃюշεпαկ ጳмጨ ожիኢዶомθհθሓመβ ρωψоκад

Lart ne reproduit pas le visible, il rend [] - Paul Klee citation 1 L' art ne reproduit pas le visible, il rend visible. Théorie de l'Art Moderne de Paul Klee Références de Paul Klee -

Elle est donc un presque rien, n'a pas plus de réalité que notre reflet dans le miroir. Elle est le reflet d'une apparence. En fait, il n'y a rien à voir. Au nom de la vérité Platon critique l'art. Les fondements de cette critique sont la définition de l'art comme imitation, reproduction de la réalité sensible et à la définition de la réalité sensible comme apparence, apparence trompeuse, apparence du vrai. Non seulement l'artiste ne produit que des apparences et en accentue la puissance trompeuse, mais encore il nous attache à ce monde des apparences en produisant des apparences qui plaisent, excitent les sens et l'imagination. L'art, effet du désir sensible et des passions, les accroît en retour. L'homme raisonnable n'y a pas sa place. L'art, ennemi de la vérité est ennemi de la morale. On trouve ici la première condamnation morale de l'art et par suite la première justification théorique de la censure artistique dont relève encore la condamnation des Fleurs du mal » au milieu du XXe. est. L'exactitude de l'art repose sur la déformation du réel sensible cf. les règles de 1a perspective. 2 Parce que l'art n'est qu'imitation . L'imitation de quoi ? Des apparences sensibles, de la réalité telle qu'elle se manifeste à nous par l'intermédiaire denos sens. C'est dans la juste mesure où le poète ne s'élève pas au dessus des apparences sensibles qu'il représenteles Dieux à l'image des hommes. L'art conforte les hommes dans leur erreur première ce qui est, est ce quiapparaît. L'art n'est qu'illustration de l'opinion, représentation de la représentation subjective. 3 Parce que l'art n'est qu'imitation d'une imitation, un simulacre . Dans La République » X 597b-598c - cf. texte, Platon montre que le peintre est l'auteur d'une production éloignée de la nature de trois degrés ». En effet, il y a trois degrés de réalité. La première, celle qui est vraiment et pleinement, est la réalité intelligible ou Idée. Pour Platon les Idées ne sont pas des produits de notre intelligence, constitutives de cette dernière rationalisme ou formées aucontact de l'expérience empirisme. Elles existent indépendamment de notre pensée. L'Etre est l'intelligible oumonde des Idées. Cette thèse rend compte et de la connaissance, la réalité est intelligible, objet d'uneconnaissance, et de l'ordre du monde. C'est parce que le monde est en lui-même intelligible que nous pouvons leconnaître. La seconde, ensemble des êtres naturels ou artificiels, est seconde, sa réalité est moindre, dans la mesure où elle est imitation de la première. Les êtres naturels doivent leur existence à un Démiurge qui a façonnéla matière en contemplant le monde des Idées Timée » . De même le bon artisan fabrique son objet en se réglant sur son Idée. Ces êtres ont moins de réalité que les Idées puisqu'ils se contentent de les imiter. La troisième, la plus éloignée de la réalité telle qu'elle est en elle-même, est celle produite par le peintre puisqu'ilimite ce qui est déjà une imitation. Elle est donc un presque rien, n'a pas plus de réalité que notre reflet dans lemiroir. Elle est le reflet d'une apparence. En fait, il n'y a rien à voir. Au nom de la vérité Platon critique l'art. Les fondements de cette critique sont la définition de l'art comme imitation, reproduction de la réalité sensible et à la définition de la réalité sensible comme apparence, apparencetrompeuse, apparence du vrai. Non seulement l'artiste ne produit que des apparences et en accentue la puissancetrompeuse, mais encore il nous attache à ce monde des apparences en produisant des apparences qui plaisent,excitent les sens et l'imagination. L'art, effet du désir sensible et des passions, les accroît en retour. L'hommeraisonnable n'y a pas sa place. L'art, ennemi de la vérité est ennemi de la morale. On trouve ici la premièrecondamnation morale de l'art et par suite la première justification théorique de la censure artistique dont relèveencore la condamnation des Fleurs du mal » au milieu du XXe. Rousseau au XVIIIe, sur ce point fort différent des philosophes des Lumières, reprendra le flambeau de cette critique. L'art n'élève pas l'âme, bien au il joue le jeu des apparences. Tout d'abord parce qu'il est, dans la société bourgeoise - société de lacomparaison, du faire-valoir, de l'hypocrisie, de la compétition -, indissociable d'une mise en scène sociale. On vaau théâtre pour exhiber sa toilette et autres signes extérieurs de richesse, pour se comparer, médire, recueillir lespotins... Ensuite parce qu'il nous plonge dans un monde fictif où nous pouvons à bon compte nous illusionner surnous-mêmes. Par exemple nous versons de chaudes larmes en assistant an spectacle des malheurs d'autrui etnous restons froids et impassibles lorsque nous avons l'occasion de lui porter secours. Mais cependant nous avonspu croire à notre bonté naturelle. Pour Platon comme pour Rousseau l'art est un divertissement qui nous divertit, nous détourne de nous mêmes. Bien que Platon ne définisse pas l'art par la beauté, il est tout de même possible de nuancer son propos, à partir de la prise en compte de sa conception de la beauté. Si l'art n'est que simulacre, la beauté existe en elle-même, elleest une Idée et précisément une des plus belles. Qu'est-ce qu'un beau cheval ? N'est-ce pas un cheval conforme àl'Idée du cheval ou archétype, à l'idée de ce que doit être un cheval sensible pour être pleinement un Cheval. Uncheval est plus ou moins beau et son degré de beauté est proportionnel à sa conformité au modèle idéal ou Idée. Est beau ce qui est ce qu'il doit être, laid ce qui ne l'est pas. Est beau ce qui est parfait. Comme la perfection n'estpas de ce monde, comme le cheval dans le pré ne sera jamais la copie exacte et sans défaut du modèle maistoujours une imitation imparfaite, la beauté la plus grande, réelle, est celle des Idées. Est beau ce qui existepleinement et ce qui existe pleinement ce sont les Idées. La beauté est la perfection ou plénitude de l'Etre. Lalaideur est l'imperfection, l'incomplétude. Par conséquent, lorsque le peintre et le sculpteur reproduisent un beaucheval ou un beau corps d'athlète, leur oeuvre, pâle esquisse de la beauté idéale, en est tout de même le reflet. Lepoète inspiré est sorti de la caverne, a contemplé l'idée du Beau et peut entraîner dans son sillon ses le jugement de Platon sur l'art ne peut pas être simple bien qu'il insiste davantage sur la définition de l'art comme simulacre pernicieux. B/ Mais l'art est-il véritablement une imitation ? Hegel. » L’art ne reproduit pas le visible, il rend visible » . #Artpero #ouagadougou Chaque année l’Université Paul Valéry de Montpellier organise une semaine de colloques consacrée au cirque. En effet, la Bibliothèque Universitaire de la ville détient le fonds cirque les archives le plus riche d’Europe. Il existe dans ce cadre un programme de recherche nommé Cirque histoire, imaginaires, pratiques » dirigé par le laboratoire RIRRA 21. Comme toujours, la vie n’est qu’une histoire de rencontres, et j’ai rencontré Philippe Goudard, Directeur du programme, artiste et scientifique, il y a maintenant quelques années. C’est la deuxième fois qu’il m’invite à participer à cette semaine de colloque, puisque j’étais déjà intervenue en 2017 à l’occasion des journées Recherche documentaire et recherche création en cirque dynamiques d’échanges ». Ma démarche photographique se situe en effet à cheval entre le travail artistique et celui de documentation. J’ai suivi le cirque Unirio à Rio de Janeiro, le Cirque National Cubain à Cuba, le cirque de Battambang au Cambodge, la compagnie Cirko Alebrije au Mexique, le Festival Mondial du Cirque de Demain à Paris, le Cirque du Soleil et je poursuis cette quête, à la rencontre du beau, au fil de mes voyages… Il s’agit avant tout d’un projet esthétique mais qui trace à la fois une ligne directrice de plus grande ampleur que j’aime nommer Anthropologie du cirque ». De fil en aiguille, j’ai rencontré la brillante Charlène Dray qui mène un travail de recherche et de création particulièrement intéressant avec ses deux chevaux et qui sera également présente cette semaine. Si certains s’interrogent sur l’intérêt l’on peut porter au cirque, voici une ébauche de réponse L’univers du cirque porte en lui quelque chose d’une mélancolie sacrée, entre ombre et lumière. Alors que leur métier consiste à procurer de la joie aux autres, les artistes de cirque vivent souvent dans des conditions précaires, et surtout en marge du reste du monde. Le cirque tient du rêve, bien sûr, il est lié à l’enfance, à une dimension de nous-même que l’on ne veut pas lâcher. Le cirque est un microcosme, doux et chaleureux, riche, multiculturel. Le berceau du partage, l’indifférence face à la différence. L’admiration peut-être même, de ce qui est extraordinaire. Le contraire, en somme, de notre société. Voilà, le cirque c’est une autre société. » Cette année la thématique est Le cirque des humains et des animaux au travail » et à cette occasion l’Université m’a commandé une exposition de 16 photographies inédites, prises de par le monde. Il s’agit d’une exposition collective, au côté du travail de Kathleen Blumenfeld et complétée par le fonds cirque. Télécharger le programme de la semaine Télécharger le dossier de presse . 494 140 309 59 401 386 228 390

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