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Informationsur la société GEORGES LE COIFFEUR AU COIN DE LA RUE LABAT dans la commune PARIS (75018) Sociétés. Sociétés. Sociétés. Dernières sociétés immatriculées Dernières sociétés radiées. Calendrier. Par date. Géographique. Par département. Par type. Par code APE Par forme juridique Par Greffe. Autres données. Chômage en France. Evolution du
J’avais été un peu déçue de ma première balade dans le 15e que j’avais centré autour de la rue du Commerce je n’avais pas réussi à percer les secrets des lieux bien cachés derrière de lourdes portes. J’ai donc décidé de redonner une chance à cet arrondissement en partant cette fois en balade du coté de Vaugirard et du parc Georges Brassens… et j’en suis revenue enthousiasmée ! De jolies découvertes ont ponctué cette promenade sous le soleil du mois de septembre… • Autour de Vaugirard • La balade débute au métro Vaugirard dès la sortie, vous pouvez vous diriger vers le square de la place Adolphe Chérioux bordé d’immeubles aux façades travaillées. Je me suis ensuite dirigée vers le Square de Vergennes où se cachent sous la verdure de belles maisons. Une en particulier retient l’attention il s’agit de l’ancienne habitation du maître-verrier Louis Barillet ainsi que de ses ateliers. Construit en 1932 par l’architecte Robert Mallet-Stevens, ce bâtiment est identifiable par sa magnifique verrière et son unique poteau central qui porte toutes les charges de la construction – véritable prouesse technique. N’hésitez pas ensuite à pousser la porte du n°283 de la rue Vaugirard la porte est ouverte en journée, vous découvrirez un ensemble qui vous donnera une idée d’à quoi ressemblait le village de Vaugirard. • La rue d’Alleray et ses voies cachées • Tournez ensuite dans la rue d’Alleray, bordées d’immeubles aux architectures éclectiques on y découvre un ancien garage auto, des immeubles de différentes époques et surtout deux jolies voies privées le Hameau d’Alleray et la villa Hersent. Malheureusement, il semblerait que les habitants de ses ruelles toutes vertes aient peur d’un petit pois puisque je m’y suis vue refuser l’accès ! Leurs secrets resteront donc gardés… Je me suis ensuite dirigée vers la rue de Vouillé en passant par la rue Corbon. Sur le chemin, je suis passée devant la médiathèque Marguerite Yourcenar si vous habitez dans le coin, je ne peux que vous la conseiller elle dispose d’un fond conséquent et une belle école primaire. • La rue Santos-Dumont et sa Villa • Changement radical de décor dès que l’on quitte la peu accueillante rue de Vouillé pour entrer dans l’ensemble situé entre les rues des Morillons, Castagnary et Brancion qui constituait au XIXe un des Villages de l’Avenir créé par le promoteur Alexandre Chauvelot à qui l’on doit également les quartiers de Plaisance et des Thermopyles. On découvre alors des immeubles bas, des maisonnettes colorées… on retrouve même les soeurs jumelles de la rue Dieulafoy souvenez vous de ma balade dans le quartier des Peupliers dans le 13e. On découvre ensuite une charmante ruelle en impasse, pavée, qui croule sous la verdure la Villa Santos-Dumont. Celle-ci, construite dans les années 20, a vu passer de nombreuses célébrités le sculpteur Zadkine, Fernand Léger, Georges Brassens… • La rue Castagnary et la Villa des Charmilles • En arrivant dans la rue Castagnary, on découvre les voies ferrées de la Gare Montparnasse et au loin la silhouette d’un phare… la Bretagne serait elle si proche ?!? Petit détour par la Villa des Charmilles, impasse pavée et représentative du souhait d’Alexandre Chauvelot pour ses Villages d’Avenir des petits immeubles avec jardins pour les classes ouvrières de l’époque. En poursuivant notre route le long de la rue Castagnary, on s’approche de ce fameux phare, réplique de celui du port du Croisic qui indique la présence d’une grande halle de vente de poissons, aujourd’hui fermée. Je me suis ensuite dirigée vers le parc Georges Brassens via la rue Fizeau en faisant un détour dans rue Victor Galland afin d’admirer quelques fresques. Si le soleil est au rendez-vous, vous pouvez vous offrir une petite sieste sur les pelouses de ce beau parc… • Le Passage de Dantzig • Avant dernière étape de la balade le Passage de Dantzig et particulièrement La Ruche, une résidence artistique fondée par le sculpteur Alfred Boucher, célèbre au XIXe pour ses bustes des têtes couronnées. Le bâtiment principal que l’on voit depuis la rue est l’ancienne rotonde des vins de l’Exposition Universelle de 1900 conçue par l’équipe d’Eiffel. Boucher racheta le bâtiment et l’implanta sur ce terrain afin d’y installer des ateliers au loyer très bas pour des jeunes artistes Zadkine, Léger, Soutine, Chagall ou Modigliani y sont passés. Il les qualifiait d’abeilles, d’où le surnom de La Ruche » pour le bâtiment. J’y ai rencontré un petit chanceux qui n’a aucun problème pour traverser les grilles… J’ai ensuite pris la rue de la Saïda bordée de beaux immeubles en briques jaunes afin de rejoindre la rue Olivier de Serres. • La Petite Ceinture • Pour clore cette grande balade, je vous suggère de découvrir le tronçon de la Petite Ceinture ouvert au public depuis cette année qui vous conduira directement jusqu’à la station Balard. Une façon de découvrir la ville d’en haut ! • L’itinéraire • Vous avez aimé cet article et souhaitez le conserver pour une prochaine balade parisienne ? Epinglez-le ! Si vous suivez mes pas, n’hésitez pas à me le faire savoir en me mentionnant sur instagram un_petitpois_surdix et/ou en utilisant le leparisdupetitpois
Coiffeur& salon de coiffure (Bordeaux) Declosse Chantal. Declosse Chantal. Bordeaux, France ··· Contacts Horaires Avis Lieux apparentés Obtenir le trajet Page des photos . Contacts. Code QR, vCard. Téléphone : +33 5 56 96 50 28 Adresse : 53 rue Vincennes, Bordeaux, 33000 Saint Bruno - Saint Victor Arrêts et stations de transports en commun proches 240 m La
Direction la Nouvelle ville, le quartier Sainte-Thérèse, l’avenue de Nancy. Où le dynamisme des commerçants contribue au bien-être des habitants de ce secteur coté, de plus en plus nombreux avec la concrétisation du projet urbain Cœur impérial. Tous les dimanches matin, le Tout-Metz se donne rendez-vous au pied de l’église Sainte-Thérèse, aujourd’hui balafrée par le temps qui passe. Place Philippe de Vigneulles, dans une ambiance petit pull sur les épaules, les vies se racontent, les sourires masqués s’échangent et les cabas se garnissent, entre autres plaisirs de bouche, de fruits et légumes garantis circuit court. Ce marché, qu’accompagne souvent un apéro heureux à La Cigale, c’est le temps fort de la semaine dans cette partie de la Nouvelle ville ni trop près ni trop loin du cœur de Metz. Où commence et où finit précisément le quartier Sainte-Thérèse, très prisé des familles ? Fuyons le débat. Ce qui met tout le monde d’accord en revanche, c’est sa beauté architecturale, la tranquillité qui y règne, autant que le sentiment d’avoir tout à portée de main, de gambettes ou de trottinette. Tout les écoles, les collèges Barbot, Georges de la Tour, les lycées Georges de la Tour encore, Louis Vincent ; les axes autoroutiers ; la douceur du plan d’eau et du canal de la Moselle ; les commerces de proximité aussi. Kidnappée rue Charles Abel à la sortie de L’Écrin Gourmand, où les viennoiseries dorées s’empilent dans un joyeux chahut, Thérèse – ça ne s’invente pas –, la cinquantaine sportive, se raconte J’ai emménagé ici en 2015 avec mes enfants et je n’en reviens toujours pas de la chance qui est la mienne. Je n’ai qu’à mettre le nez dehors pour trouver tout ce dont j’ai besoin. » Avenue de Nancy par exemple, qui accueille fleuristes, salons de coiffure, épicerie Carrefour City, caves à bières, pharmacie, banque, opticiens, marchés… Avec un s » souvent, puisque l’offre se veut plurielle. Une ville dans la ville », image Yves Goussot, l’incontournable boucher-charcutier-traiteur de la rue Charles Petre, à une perpendiculaire de là . Lui connaît ce coin de Metz comme sa poche, qui peut vivre replié sur lui-même ». Il était auparavant de l’aventure du resto Les 3 Petits Cochons, dans les murs mêmes de sa Boucherie Cœur Impérial, et aujourd’hui, il dresse ce constat Si l’esprit du quartier reste le même avec les années, les choses sont quand même en train d’évoluer. Il y a un vrai renouvellement et rajeunissement, des habitants comme des commerçants. » Ici et nulle part ailleurs » Parmi ces derniers, Xavier Wacogne. Lui a osé ouvrir une librairie indépendante en pleine crise sanitaire, avenue de Nancy, dans ce secteur privilégié » car il ne se voyait nulle part ailleurs ». Animé par son désir de mobilités douces. Par des considérations financières aussi. S’installer à l’écart du centre-ville, c’est échapper aux droits au bail exagérés et la garantie de trouver un loyer plus abordable. Mais c’est également la possibilité de faire du commerce autrement, avec moins de pression, d’exprimer sa personnalité en étant au plus proche des gens, sachant qu’ici ils consomment de la culture. » Sa Pensée sauvage lui ressemble donc. Et au milieu de ses piles de livres, Xavier Wacogne, comme le coiffeur Fabrice Trovato aux ciseaux à quelques numéros de là , savoure le dynamisme » d’un quartier qui refuse de s’endormir. Pour illustration, sa métamorphose en cours, son relooking extrême. L’ancien hôpital Bon-Secours, entre l’église Sainte-Thérèse et le lycée Georges de la Tour, a disparu du paysage. Les engins de chantier ont défilé depuis 2018 pour donner vie à un projet urbain ambitieux, nommé Cœur impérial. 450 logements neufs, une résidence seniors de standing, une diagonale piétonne accessible à tous, un jardin privatif de 18 ares, du vert pour en prendre plein les mirettes… À terme, c’est avec cette nouvelle réalité que les commerçants du coin auront à composer. Et, ça coule de source, ils ne s’en plaignent pas. Nous avons tout à y gagner », disent-ils en chœur et en substance.
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georges le coiffeur au coin de la rue